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INSTITUT LEININGER
Institut de Thérapie holistique, YOGA, Yogathérapie Centre de Recherche Indépendant de Yoga Adapté Pour votre équilibre et votre mieux-être |
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- Un bon mental, une bonne philosophie de vie, un corps souple et fort pour mieux vivre sa vie -
Yoga, Thérapie holistique, Coaching, Yogathérapie
Article paru dans la revue de Yoga n°152-153
Ces pratiques spécifiques que l'Institut Leininger met à votre
disposition font déjà l'objet d'une présentation sur ce même site.
Il était important que ma revue les présente aussi : vous trouverez de
nouvelles nuances qui vous intéresseront, j'en suis sûr.
On en connaît d'intenses et fugaces, éphémères et forts mais toujours
de durée limitée, même si celle-ci porte sur des heures, des jours, des mois,
des années …
Le Yoga peut-il être un moyen d'accompagnement ? |
Voir aussi :
- Méthodologie - Stages : mode d'emploi - Qui est Gill-Eric Leininger Molinier ? - Mes engagements - Vos témoignages - Prochain stage - Stages de l'été prochain - Mon expérience - Retraites en silence - Coaching - La revue de Yoga - Formation de professeurs - Mes livres - Mon livre sur le Yoga - Accompagnement "psy" - Le mouvement c'est la vie - Bien respirer - Groupes de parole - Conférences - Liberté - Nos tarifs - L'Institut Leininger sur les ondes ... |
En 1985, soit 8 années après avoir commencé à
enseigner le Yoga, je terminais mon premier mémoire dont la rédaction m'avait
été suggérée par Adrienne Houry, pédagogue et psychothérapeute parisienne avec
qui j'ai travaillé au cours de plusieurs formations en 1984, à Chatenay-Malabry.
L'un de mes formateurs que j'ai pris soin de remercier de vive voix il y a
quelques mois puis dans mon livre sur le Yoga récemment paru, avait travaillé
avec elle.
Aussi, j'avais souhaité bénéficier de ses apports
compte tenu des énormes bénéfices que j'avais retirés de mes stages suivis au
CREPS (Cf. cliché) sous la direction de cet homme. Il faisait preuve d'une
intransigeance et d'une précision redoutables en même temps que d'une expérience
corporelle d'athlète de très haut niveau qu'il avait été.
Illustrations :
Le compagnon de l'expérience
Ses qualités m'avaient suffisamment marqué en 1979 et
1980 (diplômes d'Instructeur niveau I et niveau II) pour que je suivisse la même
voie de refus de l'à-peu-près, de rejet du moutonnisme et de l'insatisfaction
vis à vis des aprioris.
Un idéal.
Fort d'une première formation en Yoga et en ayant entamé une seconde, l'approche
en psychopédagogie me semblait indispensable. Une fois la formation achevée,
j'attaquai la rédaction du mémoire qui allait porter sur la pédagogie du Yoga.
J'y avais noté que pour être un bon professeur de
Yoga, il faudrait être diplômé en psychologie ou en médecine. Je m'orientais
déjà vers la constitution d'une culture du Yoga, nécessaire lorsqu'on se destine
à l'enseigner vraiment.
Poursuivant un travail psychologique pour devenir
thérapeute, moins de deux ans après, je repartis à l'université pour un parcours
de six années menant au diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) en
psychologie clinique, on dit maintenant un Master II. J'avais une très haute
idée –je l'ai toujours- de ce que pouvait et devait être l'enseignement du Yoga.
C'est pourquoi il
me
semblait au moins utile sinon indispensable, d'avoir une solide formation dans
le domaine des sciences humaines.
Les années qui suivirent donnèrent raison à ce
jugement, tant en positif qu'en négatif. En négatif car j'ai vu, observé,
entendu des choses qui n'auraient jamais dû être : un minimum de connaissances
eût permis à certains représentants institutionnels, formateurs et enseignants
de Yoga, de les éviter.
En positif car la possession des bagages complets
m'a permis et me permet encore, de mener une activité responsable, décidée et
dégagée de la tendance à suivre parce que "tout le monde" le fait.
Définitions.
Dans son ouvrage sur "La science du Yoga",
l'auteur indien Taimni précise que l'ouverture d'esprit doit s'accompagner de
l'acquisition de connaissances. Les deux sont complémentaires et en fait, l'une
ne va pas sans l'autre. C'est dans cet esprit que j'ai créé l'Institut en 1994
tout en débutant ma formation de Yogathérapeute ainsi qu'une étude d'environ 60
journées en médecines ayurvédique et tibétaine. C'est ainsi que j'ai pu
renforcer le potentiel de l'Institut par les prestations suivantes en plus de
celle du Yoga traditionnel :
• Yogathérapie
• Coaching
• Thérapie holistique.
Mais qu'est-ce que c'est ? Quels liens ces domaines
peuvent-ils avoir avec le Yoga dont traite la revue Drish ? Comme j'ai pu
l'écrire à plusieurs reprises, aussi bien dans mon livre sur le Yoga que dans la
revue (Drish n°24 et 50), si le mot "Yogathérapie" existe, cela ne veut pas dire
que les professeurs de Yoga soient des thérapeutes, loin de là.
Pouvoir et limites du Yoga.
Comme j'ai pu l'expliquer et l'écrire et aussi comme je l'exprime dans les
colonnes de la revue et lors de mes stages, le Yoga ne peut pas tout et des
prérequis sont nécessaires quant à sa pratique. C'est la raison pour laquelle,
en ce qui me concerne personnellement, je lui ai toujours associé d'autres
disciplines.
Il peut apporter une amélioration sur bien des plans, mais exige des atouts
spécifiques pour devenir thérapeute, bien que ce mot soit utilisé un peu trop
souvent sans discernement réel.
Le Yoga apporte de nombreux bienfaits si on associe au Hatha-Yoga ou Yoga
physique, le Yoga royal ou Raja-Yoga. Ce sont ces deux Yoga-s que j'enseigne au
sein de l'Institut.
Je ne limite pas ma recherche à l'un ou l'autre domaines afin d'assurer des
apports plus justes et complets en pédagogie et didactique. De ce fait, il
est évident que la revue aussi bien que les stages, les cours et la formation
des professeurs de Yoga que j'assure,
les journées d'étude et l'approfondissement
sont pétris de tout cela, en plus de la dimension préventive indispensable quel
que soit le niveau du pratiquant.
La thérapie a aussi un côté préventif, ce qui est
évident.