INSTITUT
LEININGER |
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Revue de Yoga : un changement nécessaire
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Je crois pouvoir dire que parmi les lecteurs actuels de la revue (vous êtes une
centaine environ), aucun n’a connu les tout premiers numéros de Drish de 1988
qui avaient été encouragés par Van Lysebeth lui-même.
Le temps passe …
C’est toute une histoire … la vieille machine à écrire, l’agrafage et la
livraison de la revue, puis le progrès avec la mise en page automatique, l’envoi
par mail du numéro définitif à l’imprimeur … Mais ce n’est pas aujourd’hui,
l’objet de cette page.
Comprendre pour bien agir
Depuis quelques années, quelques modifications ont été effectuées qui sont
peut-être passées inaperçues à vos yeux. Normal, ce n’est pas si important, mais
mérite une explication. :
Tout d’abord, il me semblait que Drish devait surtout rester une revue de Yoga
sans informations détaillées sur les rendez-vous prévus. Le détail des stages ne
devait apparaître que par l’apport d’informations complémentaires permettant à
chaque lecteur d’affiner sa propre pratique et de mieux comprendre comment vivre
son Yoga : l’exemple type est les considérations sur le diaphragme et ses
dimensions physiologiques, psychosomatiques, etc., abordées début 2014. Il
semblait nécessaire de dissocier ces informations touchant aux manifestations
qui devenaient plus nombreuses, de la revue elle-même qui récupérait ainsi, des
pages pour le traitement des thèmes propres au Yoga. C’est pourquoi il y a un
peu plus de deux ans, pour la première fois, Drish (n°119) est parti accompagné
de la Lettre de l’Institut. La conséquence a été double : tous les adhérents ont
pu être ainsi informés de manière complète de toutes les manifestations que je
propose, ce qui allait s’avérer de plus en plus utile puisque les journées
d’étude du Yoga sont venues s’ajouter aux stages de Yoga habituels d’une durée
d’un jour à une semaine. Ainsi, ce ne
sont pas que les pratiquants que je recevais qui ont pu accéder à ces
informations, mais tous les adhérents. La seconde conséquence a été le poids de
chaque envoi.
Explication.
Entrons à présent dans des considérations très matérielles.
Drish simple pèse exactement 50 grammes, le numéro double … 100 grammes. Le
hasard en a décidé ainsi car, lorsque Drish est passé à 36 pages, ce nombre n’a
pas été choisi en fonction du poids, d’autant qu’au début, Drish a compté, selon
les moments, entre 20 et 44 pages, avant de se stabiliser à la fin des années
90, à 180 pages annuelles réparties en 5 numéros, précisément 3 simples de 36
pages et un double de 72.
Le poids de 50 grammes permettait à la revue de circuler librement dans les
services postaux avec le seul ajout de la bande-adresse et du timbre. Le poids
limite des envois est de 20, 50 ou 100 grammes : Drish se situait parfaitement à
la limite des deux derniers. La Lettre aurait pu, alors vous être envoyée par
courrier …
Tout cela faisait partie des questions évoquées ces dernières années en Conseil
d’administration.
Cher le kilo !...
Jusqu’à ce que le ˝progrès˝ amène le tri automatique et le risque de voir la
revue très abîmée par les machines, ce qui est arrivé … D’où la nécessité de
l’envoi sous enveloppe … avec un inconvénient majeur : le fait que l’enveloppe
pèse à peine quelques grammes, cela obligeait à passer à une tarification
supérieure, tant pour les numéros simples que les doubles, soit, un coût de plus
de 2 €, avec un surcoût d’environ 70 cts par envoi pour 2 grammes
supplémentaires, ce qui fait un produit avoisinant les 35 € le kilo … Si le coût
de l’envoi en lui-même, de 70 € pour chaque numéro, donc à multiplier par 4
envois annuels, n’est pas un réel problème, la décision de joindre la Lettre de
l’Institut a permis de passer ce cap, avec la problématique suivante : celle de
l’envoi du numéro double de 72 pages dont le poids dépasse les 100 grammes.
Une tentative a été faire avec le numéro 111, de donner à la revue un format
moins lourd : la découpe de-1cm de bordure ne s’est pas montrée satisfaisante et
a donc été abandonnée.
+
Deux solutions semblaient s’imposer : diminuer le nombre de pages annuelles et
revenir à 32 ou même 28 pages comme ce fut le cas dans un très lointain passé,
au tout début de l’existence de Drish, à la fin des années 80, soit effectuer 6
envois annuels … Or, mon souhait était et est toujours de conserver 5 numéros
annuels pour 180 pages. Alors ? …
Et alors ? …
6
Oui : et alors ? Parce que lorsqu’on met tout bout à bout, entre les exigences
de l’information et du contenu d’une part, et celles des services d’envoi
d’autre part, que reste-t-il à faire ? Diminuer le nombre de pages annuelles et
ajouter un numéro annuel ne me convenaient pas du tout, souhaitant conserver la
quantité de pages respectée depuis près de 20 ans et souhaitant conserver un
repère temporel du fait de la numérotation 5 par 5.
En ce qui concerne le fond, certains changements ont été décidés il y a déjà un
certain temps. Vous pourrez noter, par exemple, que l’annonce des prochains
thèmes traités dans la revue n’apparaît plus depuis le numéro 110 paru en 2010. L’utilité en étant limitée, j’ai préféré l’enlever, de même que le détail
des stages et autres journées organisées par mes soins : ces informations
apparaissent maintenant dans la Lettre jointe.
Ce réaménagement a aussi correspondu avec l’envie de mêler un peu de couleur à
votre revue.
Encore, encore !...
Et puis il y a une autre modification mise en place dès le numéro 129 et
poursuivie dans le 130 et ceux qui suivront.
Vous la découvrirez en comparant simplement ces deux numéros à ceux du début de
2014 et des années précédentes : remarquez-vous quelque chose ?
Ce changement tout simple permet de gagner une page par numéro simple et deux
par numéro double : pour cela, il a suffi simplement de diminuer la taille de la
police de caractère et de l’espace interligne. Mais tout n’est pas résolu …
Restait la question du numéro double, ses 100 grammes augmentés de la Lettre de
l’Institut.
Vous avez donc, en main, le nouveau format du numéro simple qui ne compte plus
36 mais 40 pages, comme les prochains que vous recevrez, comme il y en eut entre
1991 et 1997.
Quant au numéro double, il va diminuer d’autant de façon à ce que vous ayez
toujours 180 pages de lecture annuelle, cette nouvelle facture permettant une
non-dépense appréciable. L’augmentation du nombre de pages des numéros simples
et la diminution de celui du double est la solution mise en place avec Drish
131.
Donc, pas de vrai changement pour vous sinon le fait d’avoir un peu plus de
lecture du fait que le changement de format apporte une amélioration équivalant
à quelques pages de plus.
Et puis, suite à la demande mue par la nostalgie de lecteurs de longue date,
peut-être retrouverez-vous de temps en temps, le Métro de Delhi et les
commentaires souriants de ses passagers présents dans la revue, dans les années
90 à 2000 (Cf. Drish 87-88).
En vous souhaitant toujours bonne lecture et bonne réflexion.