INSTITUT   LEININGER  

Ecole de Yoga du K.R.I.Y.A.
              Centre de Recherche Indépendant de Yoga Adapté
 
  Formation - Approfondissement du Yoga traditionnel

Khaj div

- Un bon mental, une bonne philosophie de vie, un corps souple et fort pour mieux vivre sa vie -


     Revue de Yoga : un changement nécessaire

Voir aussi : - Revue de Yoga : présentation                       - Tous les articles parus
                  - Vous abonner                    - Numéros parus                   
           

Je crois pouvoir dire que parmi les lecteurs actuels de la revue (vous êtes une centaine environ), aucun n’a connu les tout premiers numéros de Drish de 1988 qui avaient été encouragés par Van Lysebeth lui-même.
Le temps passe …
C’est toute une histoire … la vieille machine à écrire, l’agrafage et la livraison de la revue, puis le progrès avec la mise en page automatique, l’envoi par mail du numéro définitif à l’imprimeur … Mais ce n’est pas aujourd’hui, l’objet de cette page.

Comprendre pour bien agir
Depuis quelques années, quelques modifications ont été effectuées qui sont peut-être passées inaperçues à vos yeux. Normal, ce n’est pas si important, mais mérite une explication.   :
Tout d’abord, il me semblait que Drish devait surtout rester une revue de Yoga sans informations détaillées sur les rendez-vous prévus. Le détail des stages ne devait apparaître que par l’apport d’informations complémentaires permettant à chaque lecteur d’affiner sa propre pratique et de mieux comprendre comment vivre son Yoga : l’exemple type est les considérations sur le diaphragme et ses dimensions physiologiques, psychosomatiques, etc., abordées début 2014. Il semblait nécessaire de dissocier ces informations touchant aux manifestations qui devenaient plus nombreuses, de la revue elle-même qui récupérait ainsi, des pages pour le traitement des thèmes propres au Yoga. C’est pourquoi il y a un peu plus de deux ans, pour la première fois, Drish (n°119) est parti accompagné de la Lettre de l’Institut. La conséquence a été double : tous les adhérents ont pu être ainsi informés de manière complète de toutes les manifestations que je propose, ce qui allait s’avérer de plus en plus utile puisque les journées d’étude du Yoga sont venues s’ajouter aux stages de Yoga habituels d’une durée d’un jour à une semaine. Ainsi, ce ne sont pas que les pratiquants que je recevais qui ont pu accéder à ces informations, mais tous les adhérents. La seconde conséquence a été le poids de chaque envoi.

Explication.
Entrons à présent dans des considérations très matérielles.
Drish simple pèse exactement 50 grammes, le numéro double … 100 grammes. Le hasard en a décidé ainsi car, lorsque Drish est passé à 36 pages, ce nombre n’a pas été choisi en fonction du poids, d’autant qu’au début, Drish a compté, selon les moments, entre 20 et 44 pages, avant de se stabiliser à la fin des années 90, à 180 pages annuelles réparties en 5 numéros, précisément 3 simples de 36 pages et un double de 72.
Le poids de 50 grammes permettait à la revue de circuler librement dans les services postaux avec le seul ajout de la bande-adresse et du timbre. Le poids limite des envois est de 20, 50 ou 100 grammes : Drish se situait parfaitement à la limite des deux derniers. La Lettre aurait pu, alors vous être envoyée par courrier …
Tout cela faisait partie des questions évoquées ces dernières années en Conseil d’administration.

Cher le kilo !...
Jusqu’à ce que le ˝progrès˝ amène le tri automatique et le risque de voir la revue très abîmée par les machines, ce qui est arrivé … D’où la nécessité de l’envoi sous enveloppe … avec un inconvénient majeur : le fait que l’enveloppe pèse à peine quelques grammes, cela obligeait à passer à une tarification supérieure, tant pour les numéros simples que les doubles, soit, un coût de plus de 2 €, avec un surcoût d’environ 70 cts par envoi pour 2 grammes supplémentaires, ce qui fait un produit avoisinant les 35 € le kilo … Si le coût de l’envoi en lui-même, de 70 € pour chaque numéro, donc à multiplier par 4 envois annuels, n’est pas un réel problème, la décision de joindre la Lettre de l’Institut a permis de passer ce cap, avec la problématique suivante : celle de l’envoi du numéro double de 72 pages dont le poids dépasse les 100 grammes.
Une tentative a été faire avec le numéro 111, de donner à la revue un format moins lourd : la découpe de-1cm de bordure ne s’est pas montrée satisfaisante et a donc été abandonnée.  
+
Deux solutions semblaient s’imposer : diminuer le nombre de pages annuelles et revenir à 32 ou même 28 pages comme ce fut le cas dans un très lointain passé, au tout début de l’existence de Drish, à la fin des années 80, soit effectuer 6 envois annuels … Or, mon souhait était et est toujours de conserver 5 numéros annuels pour 180 pages. Alors ? …

Et alors ? …  6
Oui : et alors ? Parce que lorsqu’on met tout bout à bout, entre les exigences de l’information et du contenu d’une part, et celles des services d’envoi d’autre part, que reste-t-il à faire ? Diminuer le nombre de pages annuelles et ajouter un numéro annuel ne me convenaient pas du tout, souhaitant conserver la quantité de pages respectée depuis près de 20 ans et souhaitant conserver un repère temporel du fait de la numérotation 5 par 5.
En ce qui concerne le fond, certains changements ont été décidés il y a déjà un certain temps. Vous pourrez noter, par exemple, que l’annonce des prochains thèmes traités dans la revue n’apparaît plus depuis le numéro 110 paru en 2010. L’utilité en étant limitée, j’ai préféré l’enlever, de même que le détail des stages et autres journées organisées par mes soins : ces informations apparaissent maintenant dans la Lettre jointe.
Ce réaménagement a aussi correspondu avec l’envie de mêler un peu de couleur à votre revue.

Encore, encore !...
Et puis il y a une autre modification mise en place dès le numéro 129 et poursuivie dans le 130 et ceux qui suivront.
Vous la découvrirez en comparant simplement ces deux numéros à ceux du début de 2014 et des années précédentes : remarquez-vous quelque chose ?
Ce changement tout simple permet de gagner une page par numéro simple et deux par numéro double : pour cela, il a suffi simplement de diminuer la taille de la police de caractère et de l’espace interligne. Mais tout n’est pas résolu … Restait la question du numéro double, ses 100 grammes augmentés de la Lettre de l’Institut.
Vous avez donc, en main, le nouveau format du numéro simple qui ne compte plus 36 mais 40 pages, comme les prochains que vous recevrez, comme il y en eut entre 1991 et 1997.
Quant au numéro double, il va diminuer d’autant de façon à ce que vous ayez toujours 180 pages de lecture annuelle, cette nouvelle facture permettant une non-dépense appréciable. L’augmentation du nombre de pages des numéros simples et la diminution de celui du double est la solution mise en place avec Drish 131.
Donc, pas de vrai changement pour vous sinon le fait d’avoir un peu plus de lecture du fait que le changement de format apporte une amélioration équivalant à quelques pages de plus.
Et puis, suite à la demande mue par la nostalgie de lecteurs de longue date, peut-être retrouverez-vous de temps en temps, le Métro de Delhi et les commentaires souriants de ses passagers présents dans la revue, dans les années 90 à 2000 (Cf. Drish 87-88).
En vous souhaitant toujours bonne lecture et bonne réflexion.

NB : Concernant les numéros déjà parus et disponibles, se renseigner directement par téléphone ou par mail selon les titres désirés.

Retour à la page d'accueil